Cette année, on change enfin de destination ! Nous n’irons pas en Bretagne, mais dans Le Périgord. Pour être plus précis, nous traverserons Le Périgord pour nous diriger vers l’Auvergne et ses volcans. Alors, on y va ?

L’équipe est composée de Fred et son fidèle VFR, de moi-même avec bien évidement le Tracer, et de Nicolas avec son diabolique 1290 SDR !
Pour Niko c’est une première, aussi bien avec nous, que pour le roadtrip ! Cette première se fera sur des routes et des lieux de premier choix.
Nous partirons de Vendée direction Le Périgord ou nous ferons une première étape à Cahors, nous remontrons ensuite au-dessus d’Aurillac en passant par Rocamadour. S’ensuivra la route de plusieurs cols d’Auvergne pour finir par la traversée du Plateau de Millevaches et enfin retour en Vendée.
Ce sera une boucle d’un peu plus de 1300 km que nous ferons en quatre jours. Allez, place au récit de ce roadtrip entre potes !
Premier jour :
Rassemblement à 8h Place Napoléon pour un départ au petit matin. La route sera longue pour un premier jour, mais c’est un sacrifice qu’il faut faire pour pouvoir faire des étapes moins longues les autres jours. C’est clairement une étape de liaison, mais que nous allons essayer de transformer en parcours de santé.
Allez feu ! Direction Angoulême pour les 200 premiers kilomètres et notre premier ravitaillement en essence à Luçon, bas ouais y’a un Autrichien qui a oublié de faire le plein. On ne s’attarde pas, mais nous prendrons quand même un bon petit café le temps de revoir l’itinéraire une dernière fois. En effet, nous allons commencer à aborder les premières routes intéressantes du week-end. Eh oui, nous n’avons pas encore pris de grands axes, mais ça restait malgré tout bien rectiligne. Les premiers virages et lieux à voir se dessinent. Nous nous arrêterons donc à Brantome et sa magnifique place le temps de prendre quelques images. C’est aussi le lieu où nous prendrons réellement le temps de souffler lors de la pause déjeuner. Et qu’est-ce que l’on sort en roadtrip à la pause déjeuner ? Le saucisson bien sûr… enfin le cisson comme nous disons.





Cette pause terminée, nous traverserons rapidement Périgueux et son superbe périph’ pour atterrir sur le premier lieu de visite à La-Roque-Saint-Christophe. Enfin ça, c’était le plan, car, sur la route, Fred a décidé de tester mes compétences en carrosserie. Rien de méchant, mais une petite chute à l’arrêt qui aura cassé une fixation de clignotant. On va faire du provisoire, mais on y reviendra plus tard. Pour le moment, retour à La-Rocque-Saint-Christophe, c’est un habitat creusé par l’homme. Toutes les aires de l’homme y ont été à un moment donné de notre histoire. Ça reste un lieu rare et d’une nature peu courante. Malheureusement avec l’atelier carrosserie de bord de route, nous nous sommes mis beaucoup trop à la bourre pour faire une vraie halte.




Nous roulerons directement vers Sarlat-la-Canéda pour visiter une partie de la vielle ville. Et là, c’est la première décision un peu difficile qu’il faut prendre, nous ne ferons que de traverser la ville. Pas de visite du centre historique comme prévu, nous devons impérativement rattraper le temps perdu pour pouvoir espérer faire les courses. Il nous faut surtout passer dans un magasin de bricolage pour nous permettre de faire une réparation sur le VFR qui tiendra au moins toute la durée du roadtrip. Donc direction Cahors pour la visite de sa zone commerciale et mine de rien, il est 1 h ! Nous irons dans une grande surface qui va nous permettre de faire une pierre deux coups, à savoir les courses et trouver un peu de matos pour réparer la moto de Fred. Mais sans nous en rendre compte, nous sommes finalement à la fin de cette première étape.
Les 450 km sont presque engloutis. Nous n’avons plus que quelques kilomètres, avec un dernier petit tronçons pour arriver au Airbnb. Nous serons accueillis par Magalie qui fut parfaite. Une fois les présentations faites, les valises déballées, nous n’irons pas sauter dans la piscine que nous attendions avec impatience ! Et oui se sera glue, patte époxy et gaffer pendant que les gars s’occuperont de l’intendance. La soirée se passera tranquillement autour d’un bon repas où nous en profiterons pour refaire le monde comme à chaque fois.
Il est minuit passé, il est maintenant temps de penser à demain !
Deuxième jour :
Il est 7h et il est déjà temps de se réveiller pour préparer les hommes et les machines. Commençons par les hommes avec une bonne tasse de café et de quoi se caler pour attaquer dans de bonnes conditions. En effet, il va y avoir un peu de marche aujourd’hui avec quelques lieux à visiter. Ensuite les machines, hier, ce fut une longue étape où nous n’avons pas vraiment arrêté, il faut donc que nous fassions un petit check de nos demoiselles avant de les charger comme des mules. Je dois aussi remettre en place le clignotant sur la moto de Fred et faire en sorte que cela tienne quatre jours. 9h30, il est grand temps de prendre la route, surtout que les pleins d’essence ne sont pas faits et qu’il va falloir rebrousser un peu chemin pour la station ! Nous prenons la route pour quelques kilomètres avant notre première visite de la journée. Pour s’y rendre, je vais comme à mon habitude prendre la route la plus directe… enfin sur le papier bien-sûr ! À vous de juger !




Nous nous arrêterons au village de Saint-Cirq-Lapopie et les restes de son château qui surplombe une falaise raide comme ce n’est pas permis. Le village est somptueux et les parkings étant sur l’extérieur, nous déambulerons un moment dans les ruelles et sur le belvédère. Ce sera l’occasion de se mettre en bonne condition pour le reste de la journée qui s’annonce quand même un peu sport vu qu’il est déjà midi.



Bon ce n’est pas le tout, mais il va falloir penser à repartir, nous récupérons nos montures direction La Route des Vallées avec une halte dans un resto en bords de route qui sert encore. Il faut le dire, nous sommes à la bourre totale sur le timing et nous venons de nous taper une section avec Niko qui nous a ouvert l’appétit autant qu’elle nous aura fait ouvrir la poignée de gaz ! 😉
Ensuite viendra La Route de Calès et enfin La Route du Bonheur. Cette dernière nous déposera à la ville de Rocamadour, deuxième lieu de visite de la journée. Honnêtement, nous ne savions pas si les rues allaient être bondées ou vide. Nous sommes hors saison certes, mais malgré tout dans un lieu hautement touristique. Nous aurons de la chance, la fréquentation, bien que non nulle, n’est pas non plus trop soutenue. Rocamadour est clairement entretenue et restaurée et elle nous donne une bonne idée de ce que devait être le château de Saint-Cirq-Lapopie. La structure, la méthode est la même, un roc en guise de falaise et une ville construire à flanc et tout autour de cet élément naturel. Cela reste bluffant de voir de telle construction, surtout lorsque l’on sait qu’elle date du 11ᵉ siècle, avec des moyens qui ne sont pas les nôtres.



Mais aussi beau et intriguant qu’est ce lieu, il nous faut repartir pour faire quelques kilomètres et nous rendre en pleine nature dans un cadre magnifique.
Cet endroit est La Cascade d’Autoire. Et là comment dire… petite fracture de la rétine inside !



Malheureusement, il faut nuancer un peu la métaphore, car faute de grandes eaux, pas besoin de rappeler que nous sortons d’un des étés les plus secs que nous ayons connus, la cascade ne coule pas avec un débit important. Elle reste tout de même magnifique à voir et ce bruit de chute d’eau, couplé au ruissellement, est d’un apaisement total. Le voilà le moment de paix intérieurs que nous pouvons trouver dans ce genre d’endroit. Mais comme tout cadeau, il faut aller le chercher !
Pour la troisième fois de la journée, il nous faut penser au trajet qu’il nous reste à faire. Il est 17h et il nous reste 90 km pour arriver au Airbnb, mais, comme si nous n’étions pas assez à la bourre depuis ce matin, à peine quelques mètres fait que je demande à Fred de s’arrêter. Il ne l’a pas encore vue, mais l’ensemble de son support valises/top-case est en train de se faire la malle ! Résultat, on ressort la trousse à outils pour remettre la barre de support et revérifier tous les serrages.
On range le tout, et cette fois, on y va, surtout que cette dernière portion de route nous emmènera directement dans la campagne Périgourdine, enfin si nous y sommes encore réellement. Quoi qu’il en soit, cette section est juste une excuse pour prendre des routes à grandes courbes ouvertes qui vont nous permettre de dérouler à allure sympathique sans nous fatiguer, car demain sera une autre histoire. En attendant, nous roulons donc à vitesse « normale » pour nous faire plaisir tout en profitant du cadre. Nous traverserons quelques beaux villages ainsi que le barrage de Saint-Etienne-Cantalès. Nous finirons à Aurillac pour faire le plein des motos et acheter le repas du soir. Il nous reste une vingtaine de kilomètres pour arriver au Airbnb qui n’est autre qu’un gîte privatisé rien que pour nous.



Nous ferons la rencontre de Cécile et Olivier qui nous réserveront le meilleur des accueils, mais avec une consigne stricte : attention aux boiseries !
La suite, vous la connaissez, déballage des valises, export des cartes SD avec un peu d’écriture qui terminera sur le blog. Comme à notre habitude, nous finirons la soirée au calme autour d’un repas à refaire notre journée et à déjà préparer la prochaine qui s’annonce être celle que nous attendons tous les trois : l’étape de cols !
Troisième jour :
Réveil une fois de plus au petit matin, décidément les vacances ce n’est pas si reposant que ça ! ;p Non, je plaisante, c’est bien évidement de la bonne fatigue… et surtout aujourd’hui puisque c’est celle que nous attendions depuis le début du roadtrip : l’étape des cols ! La journée s’annonce bien question trace, ça devrait clairement être sympa. Bon, on ne va pas se mentir, question météo, là, on n’est pas dans le même délire. Depuis le début de semaine, nous surveillons la météo et justement plus particulièrement la journée du samedi. Nous savions très bien que vu le type de trace, si la météo était pourrie, nous serions sûrement obligés de prendre la décision de couper court. Heureusement, le temps sera finalement mi-figue mi-raisin et nous pourrons faire le programme prévu. D’ailleurs, cette journée ? Ça donne quoi ? Eh bien comme je le disais, réveil de bonne heure afin de prendre le temps de… prendre le temps, nous n’allons pas refaire la même erreur que la veille. La journée sera composée de 230 km, mais comme nous passerons six cols, se sera aussi l’une des plus longues sur les motos. Alors, il faut préparer l’homme ! Tiens, le temps que nous terminons de manger nos tartines, un petit mot sur l’Airbnb que nous avions pour cette nuit : c’est simple, tu veux un lieu parfait et, bien viens ici ! Aller, chargeons les motos et Go !

Nous prendrons la route de notre premier col, celui du Perthus et il va vite arriver. Nous n’avons que 25 km pour arriver à son sommet. C’est parfait, juste ce qu’il faut pour faire chauffer les motos et les pneus. Il est encore tôt, nous sommes à 1309 mètres, il fait frais et humide, bref ça caille ! Mais il suffit de tourner la tête et de regarder au loin pour que nous en oublions cette fraîcheur bien présente. D’un côté, nous pouvons voir la vallée d’où nous venons et de l’autre le sommet qui nous attend. On shot deux trois plans et on reprend la route pour notre première descente de la journée et, bon, je confirme, les virages en devers, je n’aime vraiment pas ça. Je ne sais pas si c’est la fraîcheur du sol ou du bonhomme, mais je n’arrive pas à trouver le filing ce matin lorsqu’il faut inscrire la moto dans une courbe en appui sur l’avant.
Une fois arrivé en bas, nous ferons une petite pause pour checker la météo une dernière fois avant d’attaquer l’ascension du Col du Pas de Peyrol (1589 m). Il est le dernier palier roulable pour accéder au plus près du Puy Mary. Le temps que nous sommes arrêtés, j’en profiterais pour ajouter un peu de précharge sur la fourche du MT afin de voir si ça change un peu les choses lors des descentes de cols. Nous roulerons un peu dans le bas de la vallée avant d’arriver sur la longue ascension vers le Col de Redondet (1531 m) qui est juste avant le Pas de Peyrol. Et la route est tout simplement magnifique. Elle longe tout le flanc Est de la montagne pour atteindre finalement le sommet du col.








En haut, nous nous arrêterons dans une auberge d’altitude pour prendre une collation. Après tout, il est 10 h, c’est donc l’heure du goûter. Une fois nos ventres calés, nous faisons le tour du propriétaire en mode gros touristes ! C’est dingue, d’un côté du col, nous avons une brume à couper au couteau et de l’autre un panorama sous un soleil radieux. Et vous savez quoi, c’est justement notre cap ! Nous descendons vers le col de Serre (1300 m) par la route qui longe l’autre face. Ça descend sévère à certains endroits. Tiens, au passage, la précharge supplémentaire fait son office, on va pouvoir se relaxer un peu lors des freinages sur l’angle. Une fois passé le col, nous descendons encore un peu plus vers la vallée. Nous passerons par une petite section en épingle en pleine forêt de sapin. Au passage d’une épingle, nous nous poserons la question : mais par où passe la route ? Eh bien, elle est tout simplement éboulée, alors juste une partie, mais éboulée quand même. Ça va nous rappeler que nous sommes une fois de plus des invités et que nous devons nous tenir correctement… du moins le temps de terminer la descente.
Nous traverserons le plateau de La réserve Naturelle de Chastreix-Sancy pour rejoindre le lac Chauvet, puis nous passerons par le col de La Geneste (1372 m), pour finir au lac Pavin et son petit restaurant juste sur la rive. C’est l’endroit parfait pour manger un morceau et faire une vraie pause.




Et maintenant direction le Mont Dore en passant par le col de La Croix Saint-Robert (1451 m). alors là comment dire, la route est dingue à partir du village de Chambon-sur-Lac. Le bitume est parfait, les virages dégagés, les barrières de sécurités doublées et il n’y a pas de circulation. Il y aura trois wagons, Niko part devant accompagné de son déhanché de pistard, je suivrais avec mon style qui n’a juste pas peur de la route, et Fred fermera la marche en mode contemplation du paysage. Chacun prendra son plaisir à son rythme, le principal est que nous nous rejoignons tous au sommet. Une fois en haut, Niko nous fera remarquer qu’il y avait des traces de freinages dans tous les virages et qu’honnêtement la section ressemble plus à une piste qu’à une route. Eh bien, il aura eu l’œil, car le soir, nous vérifierons cela et effectivement, nous étions sur une portion d’une course de côte réputée, la course de Cote du Mont-Dore et ça tartine sévère dessus !
Anecdote terminée, nous sommes en train de descendre vers le Mont Dore puis cap sur la Bourboule où nous prendrons un petit café dans un joli restaurant mexicain. D’ailleurs, Niko, si tu me lis, pense à t’excuser ! ;-o
16 h 30, feu pour la dernière section de la journée pour faire route vers le Airbnb. Nous ferons une petite halte au château du Val qui est superbe. On fera quelques kilomètres de plus pour enfin y arriver, sous une pluie fine qui ne freinera pas notre plaisir de cette journée passée. Nous nous ferons une petite soirée burger maison accompagné de discutions en tout genre et de fou rire de gosses en colonie de vacances. Paye ton programme !







Dernier jour :
Nous y voilà, c’est le dernier jour de ce roadtrip qui aura fait traverser Le Périgord et l’Auvergne. Le programme sera un peu comme le premier jour, à savoir une étape de liaison qui se terminera par une longue portion d’autoroute. Mais avant cela, il y aura quand même la traverser du Plateau de Millevache à faire.
Allez, la routine du matin, petit dej, rangement des valises et chargement des motos pour enfin attaquer.
Comme on n’est vraiment pas à la bourre aujourd’hui, on décidera de faire une portion de route que nous avions dû couper hier soir à cause de la pluie. On s’enquille sur une route à… 8 grammes par poche. Honnêtement, vraiment pas moins sinon ça ne passe pas 😉
Objectif : aller voir la centrale électrique du Val Beneyte qui a l’air vraiment sympa. Bon, une fois sur place, le belvédère est agréable, mais clairement il n’y a pas grand-chose à voir. Ce n’est pas grave, ça nous aura permis de nous échauffer.



On reprend la route pour rejoindre La tour panoramique du Mont Bessou. C’est une plateforme d’observation qui surplombe le plateau de Bessou et qui a pour particularité de vous propulser à 1000 mètres d’altitude une fois en haut. Bon, 10 h du mat équipés comme des motards qui savent qu’ils vont se prendre la pluie à un moment, je ne vous raconte pas la mission de grimper les marches jusqu’au sommet. Mais la vue y est vraiment splendide ! Petite halte terminée, on entre enfin dans le vif du sujet et nous voilà sur les routes mythiques de Millevaches. C’est superbe ! Complètement pommé au milieu de nulle part, ça tourne, ça vallonne, des portions de routes pourries, bref… un pur bonheur ! La section n’est pas longue, mais nous mettrons presque une heure pour la faire tellement la route est compliquée. Je ne sais pas si c’était juste cette portion ou si toutes les routes sont comme ça par là-bas, mais elle aura été un sacré morceau.






On s’arrêtera à Eymoutier vers 13 h afin de faire le point d’où nous en sommes sur l’itinéraire et comment on s’organise pour manger, car l’heure tourne.
Alors Limoges est à 40 min, ensuite, il faut s’approcher du centre pour trouver un resto… 13h31 GPS inside, on arrive sur le parking du resto… On est d’accord, ça roulait bien ! ,)
Étant donné que nous sommes assurés de manger, on va prendre le temps pour ce dernier repas ensemble et surtout reprendre des forces et du courage pour la dernière ligne droite.

Une bonne heure plus tard, on reprend donc la route et, sachant ce qu’il nous attend, je ne suis clairement pas motivé. C’est simple, c’est presque 280 km de ligne droite qui s’annoncent. Mais on y va, il faut bien rentrer. Nous prenons notre courage à deux mains, passons la 6ᵉ et feu ! Nous ferons une micro pause du côté de Niort avant de prendre l’autoroute, mais on aura pour ainsi dire 3 h non-stop de poignée de gaz 2/3, posé droit comme un piquet… là aussi, du pur bonheur !
Au porte de La Roche, on se fait un ciao rapide, car je dois bifurquer pour faire les 15 dernières bornes qui me déposeront à la maison. Pour Fred et Niko, ce sera encore 40 avant, eux aussi, d’arriver. Cette journée, et surtout ces quatre jours, sont maintenant terminés.
Le mot de la fin :
Que dire pour résumer ce roadtrip, quelques chiffres pour commencer :
> 3 potes, 4 jours et 1386kms.
> 23H33m24s de roulage à une moyenne de 58.8km/h.
> L’altitude mini a été de -4 m et la maxi de 1590 m lors du passage de 7 cols.
Des routes et des lieux magnifiques, des fous rires de gosses, une refonte complète du monde lors de discussions passionnées et passionnantes. Quelques embûches et un peu de bricolage, mais qui n’auront pas réussi à venir à bout d’un moral sans faille.
Si on prend un peu de recul, on doit quand même regarder le temps nécessaire pour préparer ce genre de roadtrip à plusieurs. Le roadbook, l’organisation, les réservations et les préparatifs des motos ont été un peu chronophages, mais pour un aboutissement qui en vaut mille fois ce que ça a coûté.
Je l’ai déjà écrit plusieurs fois sur le blog, mais une moto c’est fait pour rouler ! Parfois, on regarde au loin ce que nous ne ferons jamais alors que la France offre déjà tant !
Donc, osez, roulez, profitez !
Comme toujours viendra un peu plus tard les vidéos de ces quatre jours dans Le Périgord et l’Auvergne. Pour ça une seule adresse la chaîne YouTube du Blog.
Et n’oubliez pas, sortir couvert à moto… ne veut pas dire mettre une capote dans sa poche !